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Ca fait, au sens propre comme au figuré, exactement depuis un bail et depuis une paye, que je n'ai pas pensé une seule seconde au fait que je vais mourir un jour. Ou une nuit.
C'est arrivé sans que je m'en aperçoive. Pendant ce temps, tout est devenu plus fluide. Plus naturel. Plus agréable.
Aujourd'hui, j'ai peur, de m'être souvenu du nom de ce Spectre, qu'il se remette à me tourmenter, me paralyser, m'obséder chaque soir avant de me rendre au Sommeil, son pacifique mais néanmoins acolyte Alter-Ego dans Notre Monde.
Qu'ai-je fait pour qu'il m'offre ce répit? Puis-je le contrôler, par auto-influence, ou alors le fuir, en roulant les yeux fermés, espérant éviter ses haies le plus longtemps possible? Dois-je le rendre tabou? Si j'y arrivais, serait-ce mieux ainsi?
Et Jean-Claude Vandamme de donner l'illustration parfaite des biais de la philosophie de fauteuil, en l'occurence, de lit, que décri(v)ait Hume :
"Il faut que tu te mouches."
Formidable Jean-Claude Vandamme.
Dont acte.
Sentir le couplage avec la mécanique m'a sauvé plus d'une fois.
Comme dans une voiture silencieuse et confortable.
On n'avance plus à rien si elle a calé.
Il faut alors tendre l'oreille.
Ouvrir la fenêtre.
Sortir.
Se retrousser les manches, se salir les mains, et la pousser jusqu'à une pente.
Accepter de prendre de la vitesse au point mort.
Trouver le moment, ni trop tôt, ni trop tard, pour la choquer.
Une fois qu'elle roule, certaines questions ne se posent plus.
Les problèmes de la Carte, de l'Itinéraire, et de la Destination, quant à eux, sont d'une toute autre nature.
C'est ce que j'ai réalisé dans ma vingt-septième année.
Entrées :
Chaque minute meurt, lorsqu'en vient une autre...
J'ai enfin pris le temps de lire ces quelques lignes que tu as jeté un jour de ta 27ème année pour exprimer ce que beaucoup d'entre nous vivent...
Encore un très beau texte à ton actif...
La vie passe, s'écoule... et parfois s'effrite... (Je reviens aux planches de mon bateau !) Réussir à ne pas le faire couler est déjà un exploit, qui necessite un effort sans cesse renouvelé.
Très beau texte donc, surtout qu'il révèle un de mes rêves. Se moquer de savoir où est la voiture (ou le bateau !) mais l'important est qu'elle (ou il) soit en état d'avancer.
Se perdre, ou plutôt être perdu... C'est un de mes rêves au sens physique du terme. Il est tellement triste de toujours savoir où l'on pose ses pieds, d'avoir un trop bon sens de l'orientation.
Finallement ton texte me plait en ce sens où il me fait prendre conscience que je réussis à être perdue dans ma vie... même si ce n'est pas sur le plan que je souhaite, il va falloir que je m'en contente !
Lost...
Thème inspiré par Bryan Bell.
Bilan des passés
Un texte plein de mystere, un mélange entre les dernières paroles d'un film américain, et celle d'un poete frustré de voyage, faute de visa...au controle technique. Une simplicité de la panne, cet espace temps qui n'existe plus...on en mangerait presque de cette panne mini. Bon, je le fait tourner le moulin a parole, mais j'ai plein de chose a faire, comme ALLER DEPANNER MA MOTO!!! et y'en a qui en font des poemes des pannes, innocents...
La clé de cette histoire pour ma part sera une clé de 10. C'est tt ce que je fais le 2-5 de cette année