Point d'entrée
Entrechats
zakath-nath : Mafalda castor : Sale gosse
ultraball : 2169-01 à 2169-03 : le résumé
parmakoma : Conférence à L'Artistique, vendredi 13 décembre 2024 à 15 h
hlepage1 : Jardiner avec la Lune en 2025
campanita : Legend of Zelda : Echoes of Wisdom
bangg : Not all men
art-orange-2012 : Val me manque
tgtg : Suite de Puzzlavie (2)
\\ Les yeux dans le Ciel avec des Diamants
Le sous-titre : Le club des coeurs solitaires du Sergent Poivre
J'étais à pied de faire mon fou, ting!, absorbé à courir la vie, lorsq'au détour d'un bosquet, je tombai né à né avec une nuit. Diverti par la musique qui coulait le long des arabesques de mon casque, bien que sourd d'un écouteur, je ne l'avais pas entendu tomber.
Elle étendit ses constellations devant mes yeux, me drapant d'un hâle cristallain, dévorant les photons qui, inconscients, n'avaient encore pris la poudre d'escamp.
Petit, plus petit encore, on m'a appris à ne jamais, aux grands jamais, parler avec des inconnues, car cela nuiit. Alors nous sommesfigés, mes pieds plantés dans la terre, ses ailes supsendues aux arbres, et nous avons commencé ànous scruter l'un l'autre. epouvais sentir sa fierté et son dédain d'être assi belle et dense. Je ne la quittais pas du regards. Je la trouvais épaisse et pleine de tâches. Je guettais ses moindres mouvements comme le signal de mes jambes à mon cou. Il ne vint d'abord pas. Eclipsant le silence, elle se mit à mékloper à l'aide d'un courant d'air qu'elle agita dans les feuiles d'arbre chatouilleux. Elle en jouait bien. Une mélodie poussait. Ses ramifications touchaient des énergies que ne connaissaimon cerveau. Tout devint flouLes bruits devinrentd des couleurs et les étoiles les notes d'unepartition. Saoul de ses sonrités, je ne su q'uelle avançait lorsqu'elle m'eut entièrement recouvert des feuilles finies qu'elle jetait au vent. Je branchais la prise de mon casquedans l'herbe à rosée et la greffe pris.J'aurai aimé méorisé ce moment de magie qui me fut offertau milieu d'une forêt judicieuseument placée au milieu d'une nuit.
Mais très vite, je me mis à tout oublier.Je repris conscience, j'étais accroupi, une pris e jack mâle enfoncée dans la terre.Mes yeux ne voyaient plus la musique, ils s'étaient acclimatés par à l'absence de lumière. Je pouvais discerner un chemin, qui, je me le jurai mentalement, n'existait pas quelque instants plus toôt. Le prenant pour mien, je remerciait la nuit , et ctatonnant mes lettres, je me mis à faire un mot après l'autre , dans l'obscrité aveuglante., sanmaladroitement, sans savoir ni ce que j'écrivais, ni ce que j'écrirais., ni d'ou je partais, ni où j'allais...
i. La nuit est comme hantée. La suite est en foncée comme en terre.
Elle étendit ses constellations devant mes yeux, me drapant d'un hâle cristallain, dévorant les photons qui, inconscients, n'avaient encore pris la poudre d'escamp.
Petit, plus petit encore, on m'a appris à ne jamais, aux grands jamais, parler avec des inconnues, car cela nuiit. Alors nous sommesfigés, mes pieds plantés dans la terre, ses ailes supsendues aux arbres, et nous avons commencé ànous scruter l'un l'autre. epouvais sentir sa fierté et son dédain d'être assi belle et dense. Je ne la quittais pas du regards. Je la trouvais épaisse et pleine de tâches. Je guettais ses moindres mouvements comme le signal de mes jambes à mon cou. Il ne vint d'abord pas. Eclipsant le silence, elle se mit à mékloper à l'aide d'un courant d'air qu'elle agita dans les feuiles d'arbre chatouilleux. Elle en jouait bien. Une mélodie poussait. Ses ramifications touchaient des énergies que ne connaissaimon cerveau. Tout devint flouLes bruits devinrentd des couleurs et les étoiles les notes d'unepartition. Saoul de ses sonrités, je ne su q'uelle avançait lorsqu'elle m'eut entièrement recouvert des feuilles finies qu'elle jetait au vent. Je branchais la prise de mon casquedans l'herbe à rosée et la greffe pris.J'aurai aimé méorisé ce moment de magie qui me fut offertau milieu d'une forêt judicieuseument placée au milieu d'une nuit.
Mais très vite, je me mis à tout oublier.Je repris conscience, j'étais accroupi, une pris e jack mâle enfoncée dans la terre.Mes yeux ne voyaient plus la musique, ils s'étaient acclimatés par à l'absence de lumière. Je pouvais discerner un chemin, qui, je me le jurai mentalement, n'existait pas quelque instants plus toôt. Le prenant pour mien, je remerciait la nuit , et ctatonnant mes lettres, je me mis à faire un mot après l'autre , dans l'obscrité aveuglante., sanmaladroitement, sans savoir ni ce que j'écrivais, ni ce que j'écrirais., ni d'ou je partais, ni où j'allais...
i. La nuit est comme hantée. La suite est en foncée comme en terre.
Entré par Bibasse, le Dimanche 8 Mai 2005, 22:56 dans la rubrique "Diversatile".
Entrées :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Et tu as décidé d'écrire en blanc pour que personne ne le sache ?
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re:
C'est pour voir ce que ça donne quand je tatonne dans l'obscurité aveuglante, et si l'écriture peut s'étoiler quand la nuit tombe.
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re:
Alors allumes la lumière ! Mais les bougies, ça fait une douce lueur, c'est calme, chaleureux et romantique...
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Hou... hou... (cri du fantôme formaté)
J'ai toute une étagère à bougies, entourées par deux fontaines. C'est mon coin relaxation. Sinon, j'ai une lampe à écrire.
Tu cherches ton chemin?
Tu cherches une lettre?
Un enfant de 6 ans pourrait te la donner... dans ses ratures.
Tu cherches ton chemin?
Tu cherches une lettre?
Un enfant de 6 ans pourrait te la donner... dans ses ratures.
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Quand j'ai honte, je deviens écarlate et ça en éclaire mon cahier, mais alors je n'ose plus écrire!
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Ouais, j'ai peur qu'elle me flashouille. Un peu comme dans men in black.
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
J'ai mieux! Des lentilles de soleil.
P*tain-naise, je suis fatigué...
P*tain-naise, je suis fatigué...
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Elles changent de couleur au soleil ?!!! Trop fun !!!
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Comment tu as deviné?
Et parce que je suis superstitieux, je ne laisse jamais 13 commentaires sur un blog un soir de pleine bougie.
Et parce que je suis superstitieux, je ne laisse jamais 13 commentaires sur un blog un soir de pleine bougie.
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Mais de toutes façons, les 13, on va les dépasser largement avant la fin de la soirée !
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Je viens de l'apprendre, dis-donc!
Dommage, la vaisselle commençait à se laisser faire, je voyais presque le fond de l'évier.
Non, ça n'est pas vrai, je viens de la finir, j'ai même balayé tout ce que j'avais brisé.
Dommage, la vaisselle commençait à se laisser faire, je voyais presque le fond de l'évier.
Non, ça n'est pas vrai, je viens de la finir, j'ai même balayé tout ce que j'avais brisé.
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Perso, mon évier est tellement petit qu'au bout de deux jours il déborde... :o/
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Moi, mes problèmes viennent du fait que c'est mon plafond qui est trop bas.
Donc, j'ai une limite d'assiettes à empiler que je ne peux pas dépasser.
Donc, j'ai une limite d'assiettes à empiler que je ne peux pas dépasser.
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: On en était où... Ah oui! Re: Re: Re...
Ben 3 mètres c'est bien sauf pour peindre les murs, parce que ça fait tout de suite très haut...
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Moibzh,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re... c'est répétitif, un peu... Re: Re: Re:
Moi je retourne mon appart, comme ca le plancher devient plafond, et inversement.
C'est plus facile pour peindre, mais fo penser a rtourner le pot de peinture, sinon on fait une tache sur le plafond qui devient plancher, mais qui est qd meme plafond en tps normal....
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re... c'est répétitif, un peu... Re: Re: Re:
J'adore... c'st exactement ce que j'aurai voulu écrire...
Moibzh,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re... c'est répétitif, un peu... Re: Re: Re:
Sinon, on utilise un manche téléscopique adaptable au rouleau...
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re... c'est répétitif, un peu... Re: Re: Re:
C'est l'histoire du fou qui repeint son plafond. Je lui dis; accroches-toi au rouleau, je retire le sol.
Version XML
- Cette page est peut-être encore valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.