Point d'entrée
Entrechats
zakath-nath : Frasier (2023), saison 2 campanita : Legend of Zelda : Echoes of Wisdom
castor : L'arme ultime contre les morts vivants
parmakoma : Les Boréales 2024
ultraball : 2168-11 : le résumé
bangg : Not all men
art-orange-2012 : Val me manque
stupidchick : meta (4)
tgtg : Suite de Puzzlavie (2)
\\ Article de futilité publique
Le sous-titre : Lundi de pente-plat-côte
Publié avec un jour de retard. Pour vous mettre sous la douche (on dit dans le bain?), nous sommes lundi. Et je dois aller bosser.
Après les quatre sonneries successives et reglementaires, je m'extirpe du lit (rien que le mot est douloureux) et file à la salle d'O. Je teste le nouveau aqse grouve au parfum de taureau rouge, la guarana, et, COMME DANS LA PUB, à peine appliqué, des mains se mettent à s'aggriper à mon corps, le caresser, le malaxer, deux vraies furies. Un peu trop poilues à mon appréciation, mais je m'en contente.
Puis je m'attarde devant mon psyché, et je tombe des nus. Il n'est pas assez large. Il ne reflète qu'une partie de moi. Ou est l'autre? Ca ne me fait pas rire. Mon corps m'amusait t'il avant qu'il ne mue? Ma muse est-elle attirée par les faux raccords? Je file devant la glace, sans teint, éteint, et je me retrouve tel que je m'avais laissé hier, à peu ou près. Modulo bien entendu les dégats provoqués par la guerre des poils qui eut lieu durant la nuit, éparpillant douilles, chargeurs de 1mm, fuyards enterrés dans les tranchées, et autres cratères sur le terrain vague à la lisière de ma jeune foret-barbe.
Mais ce qui attire mon attention, ce sont les deux belles boucles montantes, que mes pourtant habituellement hirsutes de cheveux se sont accordés à laisser dépasser et ériger en seules rescapées de la double compression capillaire nocturne (m'apprenant sur le fil qu'en toute apparence, je dors autant de temps la tête tournée à droite qu'à gauche). Hmm. chaque fois que j'ai eu des cornes, ca voulait dire que ma petite copine du moment s'envoyait les amydales en l'air contre le mur des amoureux du collège, et de fait, je ne pu point placer le g. D'accord, à dix ans, ça n'est pas grave de ne pas savoir écrire amygdales. Mais j'arrêtais brusquement de porter son cartable et de dire "à l'arrêt" au chauffeur du bus scolaire à sa place.
N'étant pas super stitieux, j'ai pris renseignement. Nous sommes le mois du Taureau. Il y avait t-rop de signe.
Je suis parti au boulot tête baissée, et j'ai foncé aux feux rouges. Et pour marquer encore plus ma détermination, je ne regardais que ceux des voies perpendiculaires.
Après les quatre sonneries successives et reglementaires, je m'extirpe du lit (rien que le mot est douloureux) et file à la salle d'O. Je teste le nouveau aqse grouve au parfum de taureau rouge, la guarana, et, COMME DANS LA PUB, à peine appliqué, des mains se mettent à s'aggriper à mon corps, le caresser, le malaxer, deux vraies furies. Un peu trop poilues à mon appréciation, mais je m'en contente.
Puis je m'attarde devant mon psyché, et je tombe des nus. Il n'est pas assez large. Il ne reflète qu'une partie de moi. Ou est l'autre? Ca ne me fait pas rire. Mon corps m'amusait t'il avant qu'il ne mue? Ma muse est-elle attirée par les faux raccords? Je file devant la glace, sans teint, éteint, et je me retrouve tel que je m'avais laissé hier, à peu ou près. Modulo bien entendu les dégats provoqués par la guerre des poils qui eut lieu durant la nuit, éparpillant douilles, chargeurs de 1mm, fuyards enterrés dans les tranchées, et autres cratères sur le terrain vague à la lisière de ma jeune foret-barbe.
Mais ce qui attire mon attention, ce sont les deux belles boucles montantes, que mes pourtant habituellement hirsutes de cheveux se sont accordés à laisser dépasser et ériger en seules rescapées de la double compression capillaire nocturne (m'apprenant sur le fil qu'en toute apparence, je dors autant de temps la tête tournée à droite qu'à gauche). Hmm. chaque fois que j'ai eu des cornes, ca voulait dire que ma petite copine du moment s'envoyait les amydales en l'air contre le mur des amoureux du collège, et de fait, je ne pu point placer le g. D'accord, à dix ans, ça n'est pas grave de ne pas savoir écrire amygdales. Mais j'arrêtais brusquement de porter son cartable et de dire "à l'arrêt" au chauffeur du bus scolaire à sa place.
N'étant pas super stitieux, j'ai pris renseignement. Nous sommes le mois du Taureau. Il y avait t-rop de signe.
Je suis parti au boulot tête baissée, et j'ai foncé aux feux rouges. Et pour marquer encore plus ma détermination, je ne regardais que ceux des voies perpendiculaires.
Entré par Bibasse, le Mardi 17 Mai 2005, 01:55 dans la rubrique "Vie-o-rama".
Entrées :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Vice d'imbrication
Un marteau pour les enfoncer dans le mur, deux vis adaptées et un tournevis.
Et accessoirement, quelqu'un pour faire...
Biz ;)
FleurdeKaramelle,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Je découvre ta plume...et j'apprécie énormément...
Je reviendrai sans doute...il y en a qui m' émeuvent, d'autres qui m' énervent, d'autres encore qui me troublent...toi tu es de ceux dont j'admire la prose, inconditionnellement...
Je reviendrai sans doute...il y en a qui m' émeuvent, d'autres qui m' énervent, d'autres encore qui me troublent...toi tu es de ceux dont j'admire la prose, inconditionnellement...
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Moibzh,
dans le même fétu de temps, a écrit :
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Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Chapeau bas