Point d'entrée
Entrechats
castor : le houblon ne fait qu'un avec la nature zakath-nath : Bagdad Café
parmakoma : Prix d’État de la traduction
ultraball : Coupe du Monde 2169 d'ultraball : Coup d'envoi et présentation des équipes
campanita : Doctor Who : Ncuti Gatwa Era
bangg : crève charogne
hlepage1 : Jardiner avec la Lune en 2025
art-orange-2012 : Val me manque
noals : mécanique de la causalité
tgtg : Suite de Puzzlavie (2)
\\ silent. ill.
Le sous-titre : Pour certains virtuels, pour d'autres ils n'existent pas
J'ai une chute d'intention.
J'ai un coude blues.
Mis en échec par les blancs.
J'ai choppé la grêve.
Le slam me manque.
Ma tête a mal à moi.
Alors je mais penche a renverse.
Vivement demain.
Ces mots brûlent mes lèvres et mes yêûx :
Pour certain tu es Chair. Pour d'autre tu es Sang.
A certains tu es cher, d'autres peuvent très bien vivre sans.
Pour certains tu es unique. Pour d'autres on est deux cents.
Mais juger sans connaitre, c'est au moins treize indécent.
Et toujours, toujours en embuscade :
Il ne faut jamais croire ce que l'on dit,
Il ne faut jamais croire ce que l'on crie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on écrit,
Il ne faut jamais croire ce que l'on prie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on trie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on scie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on gït,
Il ne faut jamais croire ce que l'on vit,
Il ne faut jamais croire ce que l'on chie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on rit,
Il ne faut jamais croire ce que l'oncle Henry,
Il ne faut jamais croire ce que l'on nie.
Ce que l'on "si", ce "qu'illusion".
Ce que les sens ou la pensée étaient censés panser, par décence et par allusion.
L'absence d'essence.
Le Géranium.
J'ai un coude blues.
Mis en échec par les blancs.
J'ai choppé la grêve.
Le slam me manque.
Ma tête a mal à moi.
Alors je mais penche a renverse.
Vivement demain.
Ces mots brûlent mes lèvres et mes yêûx :
Pour certain tu es Chair. Pour d'autre tu es Sang.
A certains tu es cher, d'autres peuvent très bien vivre sans.
Pour certains tu es unique. Pour d'autres on est deux cents.
Mais juger sans connaitre, c'est au moins treize indécent.
Et toujours, toujours en embuscade :
Il ne faut jamais croire ce que l'on dit,
Il ne faut jamais croire ce que l'on crie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on écrit,
Il ne faut jamais croire ce que l'on prie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on trie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on scie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on gït,
Il ne faut jamais croire ce que l'on vit,
Il ne faut jamais croire ce que l'on chie,
Il ne faut jamais croire ce que l'on rit,
Il ne faut jamais croire ce que l'oncle Henry,
Il ne faut jamais croire ce que l'on nie.
Ce que l'on "si", ce "qu'illusion".
Ce que les sens ou la pensée étaient censés panser, par décence et par allusion.
L'absence d'essence.
Le Géranium.
Entré par Bibasse, le Mardi 24 Mai 2005, 23:34 dans la rubrique "Vie-o-rama".
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Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.