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castor : L'arme ultime contre les morts vivants
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ultraball : 2168-11 : le résumé
bangg : Not all men
art-orange-2012 : Val me manque
stupidchick : meta (4)
tgtg : Suite de Puzzlavie (2)
Elle
n'est pas encore tout à fait nue
Bien trop
de lumière nous habille
Alors j'essaie de faire
de mon mieux
Pour
tamiser mes envies
Et je
tapisse son nid d'Amour de mon corps écorné
Je
m'étends, ma bite prend un angle de zénith
Et de
pulsations de boomerang, bat la minute
Sonde
chaque seconde qui me sépare de son feu
Je la
harangue des yeux,
J'en
appelle à Elle, à ses lestes muscles
Je me
l'appelle Céleste dans le silence du soir et cette odeur de musc
Elle décide de s'asseoir sur mon sexe doucement,
Elle
descend. Je me sens Ulysse et voici mon Odyssée,
Illiade...
Il y a
des commissures qui me sussurent "Entre"
Entre
nous de la mixité sociale un peu trop poussée
Des
blessures à jamais oubliées et des lettres ouvertes
Des sexes
décachetés, le parfum de ta chatte sur ta robe verte
Encore
toute tachetée par nos préliminaires, dans l'air
Il y a du "je ne
pouvais pas m'en détacher, Madame la commissaire
Du "Je
n'ai pas assez de Toi",
Du "Je ne
suis pas assez en Toi
Du
"Prends ton temps"
Comme de
rentrer dans l'eau froide, je n'y crois pas, nous sommes brûlants,
Quelle
maîtrise de soi, à l'embrasure de ses lëvres
Son désir
coule sur les centimètres de ma peau qu'elle n'a pas encore recouvert
C'est
beau à voir, à sentir, à toucher, à goûter,
gouttes à gouttes goûte sur mon gland
Elle
m'inonde lentement, elle m'irrigue, je sens son ventre
De
l'intérieur les palpitations,
Ce n'est
pas une femme fontaine, non,
C'est une
femme Jouvence!
Et je
me sens immortel, à mesure qu'elle avance
De son
sel en spirale le long de mes veines, je
soupire d'un râle de sculpture vivante
Je me
cristallise, mon pénis concentré sur l'analyse
Ses cuisses des corolles au bout de ma tige
Et nous jouons au vent, et aux secousses sismiques
Aux tremblements de terrain, aux glissements de tes reins,
Que dans
le corridor se fomente, se prépare
La fabuleuse évasion d'une foule de prisonniers
Pour qui
son corps se pare des attraits de la liberté
Mes yeux
sont le mirador mordant sa cour des miracles
Sous l'explosion
de la lune, où les désirs éclatent
Ses mains
sur ma poitrine, et les miennes sous la sienne
Le feu de ses cheveux devient ma forêt
Elle
m'embrase, par osmose j'en deviens translucide
Salive densité
emplie d'étoiles suitantes
Cheveux supernova, cheveux rayons d'un soleil de chevet
Lampe que
j'éteinds violemment sans même m'en rendre compte
Coup de
pied dans la table, je vais
Prendre
le dessus, arracher les dessous,
Je serais le
petit poucet à la recherche du chat botté
Sur la trace laissée par les grains de sa beauté
Je
parcourrai inlassable ses Hymalayas terriens
Et danserai des vas et viens dans ses immatériels
Ensemble nous nous perdrons à nouveau dans les mystères de l'Amour
Et je
jetterai des myriades d'étoiles sonores sur son Finistère Nord !
La
poussière de nos ventres vas-y fais un voeu !
Sur nos langues ! Comme des big-bangs se dévorant l'un l'autre !
Nos
jouissances dans les mêmes secondes ! Le même visage ! Les mêmes yeux !
Pour crier haut et fort que Oui ! Nous ne sommes pas des coincidences !
Nos
jouissances dans les mêmes secondes. Dans le même visage. Dans les mêmes
yeux...
Entrées :
Re: Fabuleux
Alors on écrit avant pour imaginer et après pour se souvenir.
On pourrait aussi écrire pendant, ça je n'ai jamais essayé.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Fabuleux
Jouir à la même seconde n'est la fin de rien au monde
C'est même le début de presque tout
C'est même le début de nous
J'aurais aimé l'écrire, mais à choisir entre l'écrire et le faire ?
Comme toi, le faire et l'écrire.
Comment s'en passer ?
ERIC