Point d'entrée
Entrechats
zakath-nath : Mafalda castor : Sale gosse
ultraball : 2169-01 à 2169-03 : le résumé
parmakoma : Conférence à L'Artistique, vendredi 13 décembre 2024 à 15 h
hlepage1 : Jardiner avec la Lune en 2025
campanita : Legend of Zelda : Echoes of Wisdom
bangg : Not all men
art-orange-2012 : Val me manque
tgtg : Suite de Puzzlavie (2)
\\ Les dimanches de la télévision
Le sous-titre : La plage horaire mal-aimée
Je me suis réveillé à la fin du zapping ce matin.
J'ai donc raté cette opportunité de retrospecter l'actualité de la semaine passée dans la petite lucarne, en même temps que cloturait la dernière programmation dominicalement pourvue d'intérêt à mes yeux.
J'ai au moins réussi à apercevoir la fameuse prestation de slam de Francis Lalanne à 20h10 pétantes... fidèle à lui-même. Quelques séquences plus tard, Matilde Seigner communiquait sans mots son amour pour les chansons vraies de Claude Barzotti. Ca m'a fait penser à une discussion que j'ai eu avec une amie la veille. C'est fou comme les chansons les plus niaises et ringardes vous semblent tout à coup d'une pertinence cruelle et vertigineuse dès que vous y identifiez votre propre expérience.
Et puis, en prenant mon petit dèj, (15h), je commence à suivre les dialogues de cette série américaine, Las Vegas. Esthétiquement, ca ressemble aux dessous de palm beach, costards et bikinis, et la musique dramatique est celle d'une série d'action policière. La série qui passe en fond sans qu'on accroche quoi que ce soit. Mais une saynète attire mon attention. La gérante d'un hotel crée des crises matrimoniales chez ses clients car dans sa base de données, les noms de leurs maîtresses et épouses se sont inversés. Plus tard, ce n'est rien moins que Jean-Claude Vandamme himself qui vient tourner une cascade dans l'hotel pour le film "The Fist And The Furious". Il la rate... et meurt! Tout le reste de l'épisode est habité de petites piques d'humour noir ou absurde presques insoupçonnables si on considère qu'on est devant une série dramatique. A la fin de l'épisode, seul le message "Aucun Jean-Claude Vandamme n'a été injurié ou blessé durant le tournage" révèle explicitement la supercherie.
Ca m'a fait penser à une discussion que j'ai eu avec un ami la veille. Il n'avait pas supporté le film Snatch, car il croyait que c'était un film qui se voulait sérieux mais qui ratait complètement ses objectifs. Dépassant mes a priori concernant les dimanches de la télévision, j'ai décidé de réexaminer les programmes des autres chaines. Si ca se trouve, ils ne sont pas chiants.
Aujourd'hui, Planet Telex de Radiohead, pour les paroles justement et Marvo Ging du dernier Chemical Brothers parce qu'il vient de sortir aléatoirement de ma playlist, et qu'il fait vraiment bien le soleil printanier.
J'ai donc raté cette opportunité de retrospecter l'actualité de la semaine passée dans la petite lucarne, en même temps que cloturait la dernière programmation dominicalement pourvue d'intérêt à mes yeux.
J'ai au moins réussi à apercevoir la fameuse prestation de slam de Francis Lalanne à 20h10 pétantes... fidèle à lui-même. Quelques séquences plus tard, Matilde Seigner communiquait sans mots son amour pour les chansons vraies de Claude Barzotti. Ca m'a fait penser à une discussion que j'ai eu avec une amie la veille. C'est fou comme les chansons les plus niaises et ringardes vous semblent tout à coup d'une pertinence cruelle et vertigineuse dès que vous y identifiez votre propre expérience.
Et puis, en prenant mon petit dèj, (15h), je commence à suivre les dialogues de cette série américaine, Las Vegas. Esthétiquement, ca ressemble aux dessous de palm beach, costards et bikinis, et la musique dramatique est celle d'une série d'action policière. La série qui passe en fond sans qu'on accroche quoi que ce soit. Mais une saynète attire mon attention. La gérante d'un hotel crée des crises matrimoniales chez ses clients car dans sa base de données, les noms de leurs maîtresses et épouses se sont inversés. Plus tard, ce n'est rien moins que Jean-Claude Vandamme himself qui vient tourner une cascade dans l'hotel pour le film "The Fist And The Furious". Il la rate... et meurt! Tout le reste de l'épisode est habité de petites piques d'humour noir ou absurde presques insoupçonnables si on considère qu'on est devant une série dramatique. A la fin de l'épisode, seul le message "Aucun Jean-Claude Vandamme n'a été injurié ou blessé durant le tournage" révèle explicitement la supercherie.
Ca m'a fait penser à une discussion que j'ai eu avec un ami la veille. Il n'avait pas supporté le film Snatch, car il croyait que c'était un film qui se voulait sérieux mais qui ratait complètement ses objectifs. Dépassant mes a priori concernant les dimanches de la télévision, j'ai décidé de réexaminer les programmes des autres chaines. Si ca se trouve, ils ne sont pas chiants.
Aujourd'hui, Planet Telex de Radiohead, pour les paroles justement et Marvo Ging du dernier Chemical Brothers parce qu'il vient de sortir aléatoirement de ma playlist, et qu'il fait vraiment bien le soleil printanier.
Entré par Bibasse, le Samedi 19 Mars 2005, 17:15 dans la rubrique "Vie-o-rama".
Entrées :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Morphee,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Bibasse,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Re: Re: Le pire
Oh, si tu savais le nombre de fois...lol. Je me plaignais une fois que c'était fini, car ça me rappelait à la réalité du temps qui passe. J'adore particulièrement l'heure de Derrick, celle ou on reprend le boulot, celle qui signale qu'on devrait déjà être parti. C'est une heure magique, même en fond sans que tu la regardes, la série t'anesthésie à toute notion du temps. Au final, chacune de ses minutes devient un instant d'oisiveté volé.
Version XML
- Cette page est peut-être encore valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Le pire