Point d'entrée
Entrechats
zakath-nath : Mafalda castor : Sale gosse
ultraball : 2169-01 à 2169-03 : le résumé
parmakoma : Conférence à L'Artistique, vendredi 13 décembre 2024 à 15 h
hlepage1 : Jardiner avec la Lune en 2025
campanita : Legend of Zelda : Echoes of Wisdom
bangg : Not all men
art-orange-2012 : Val me manque
tgtg : Suite de Puzzlavie (2)
\\ Coeur de réseau
Le sous-titre : Slamé au Melting Pot
Le plan de cablage :
C'est une histoire qui se termine.
C'est triste mais c'est ainsi.
Il fallait arrêter de se voiler la face.
Nous étions au bout du chemin.
En tant que couple, nos performances s'étaient réduites,
nos échanges devenus cahotiques, cathartiques, erratiques.
Le temps où nous étions en parfaite osmose,
synchronisés sur la même fréquence, est révolu.
Trop de bruit, de parasites, d'incompatibilités.
On avait beau se relancer, il y avait toujours un bug.
Je me souviens, à nos débuts, il y avait eu cette grande étincelle.
Tu m'as fais voir la vie en couleurs.
Je me reposais sur toi, en toi, chaque partie de moi avait trouvé sa place.
Quelle naïveté de croire que ca durerait.
Aujourd'hui, tout me rattache à toi.
Tu te souviens de tous ces jeux que nous avons essayé ensemble?
J'essaie de me changer les idées mais il n'y a pas un film, pas une musique
que nous n'ayons partagé.
Dans ma mémoire tout se confond.
Parfois j'aimerais la reformater pour ne plus avoir de traces.
Tant de fils nous connectent.
Tu en as coupé certains, mais je ne sais pas lesquels.
Ils sont tous liés dans la même natte.
Quand je tire sur l'un,
il y a toute une boule qui vient, qui monte, et je ne trouve pas le courage de faire le tri.
Alors je les laisse.
Tu me dis qu'il y en aura une autre, après toi.
Pour l'instant, je n'ai pas les moyens d'y penser.
Saches qu'à tout jamais, tu es et tu seras...
...ma première carte mère.
Et moi ton premier ordinateur.
:-)
C'est une histoire qui se termine.
C'est triste mais c'est ainsi.
Il fallait arrêter de se voiler la face.
Nous étions au bout du chemin.
En tant que couple, nos performances s'étaient réduites,
nos échanges devenus cahotiques, cathartiques, erratiques.
Le temps où nous étions en parfaite osmose,
synchronisés sur la même fréquence, est révolu.
Trop de bruit, de parasites, d'incompatibilités.
On avait beau se relancer, il y avait toujours un bug.
Je me souviens, à nos débuts, il y avait eu cette grande étincelle.
Tu m'as fais voir la vie en couleurs.
Je me reposais sur toi, en toi, chaque partie de moi avait trouvé sa place.
Quelle naïveté de croire que ca durerait.
Aujourd'hui, tout me rattache à toi.
Tu te souviens de tous ces jeux que nous avons essayé ensemble?
J'essaie de me changer les idées mais il n'y a pas un film, pas une musique
que nous n'ayons partagé.
Dans ma mémoire tout se confond.
Parfois j'aimerais la reformater pour ne plus avoir de traces.
Tant de fils nous connectent.
Tu en as coupé certains, mais je ne sais pas lesquels.
Ils sont tous liés dans la même natte.
Quand je tire sur l'un,
il y a toute une boule qui vient, qui monte, et je ne trouve pas le courage de faire le tri.
Alors je les laisse.
Tu me dis qu'il y en aura une autre, après toi.
Pour l'instant, je n'ai pas les moyens d'y penser.
Saches qu'à tout jamais, tu es et tu seras...
...ma première carte mère.
Et moi ton premier ordinateur.
:-)
Entré par Bibasse, le Vendredi 22 Avril 2005, 17:52 dans la rubrique "Poëmes catalogués".
Version XML
- Cette page est peut-être encore valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.