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\\ C L I M A X
Lorsque l'Arbre sous lequel
Nous nous reposons,
L'Arbre de la Connaissance,
Aura perdu toutes ses feuilles,
Le soleil frappera par delà les branches sëches.
Et tout le monde
Aura une ombre
Sur notre terre
Alors préviens tes relatifs
Qu'en s'entraidant un peu,
Nous serons presque tous
Protégés par quelqu'un
Prenant les coups
A notre place
Tous les abris
Auront un prix
Sur notre terre
Ne sois pas effrayé
Nous avons abattus des forets
Pour nous défendre
Par nos écrits
De ce que nous ne pouvions contrôler
De ce que n'avons pas pu comprendre
Pendant longtemps j'ai fuis,
J'ai essayé le ciel,
De gares en gares, de galaxie en galaxie,
Pour m'asseoir
Sur le rebord de la Lune,
Pour y monter une tente unie,
Pour juste avoir un point de vue,
Chaque levé de terre j'admirais au loin
Les uns, les unes, les tiens, les miens,
Toutes les marées montantes,
Les amas d'étoiles figurantes
L'état de Marylin Monroe,
Les supernovas débutantes,
Les avidités d'énergie,
De pouvoirs et d'autonomie,
Les automnes et les printemps,
La cocaïne et les cancers de peau,
Le CO2 face aux nitrates,
Jamais ni trop ni trop tard,
Mais pas encore assez des deux,
Machines à effet de serre,
Méthane à effet servile,
Emergence de villes adolescentes aux explosions d'essences
Voix de développements muées sous une croissance non-contrôlée,
Et les mamans inexpérimentées,
Qui cherchent à changer les couche d'ozone,
Les beaux écrits, les feuilles de carbone,
Les anges aigris, Les fous aphones,
Les poisons énergétiques,
Les eaux chaudes de l'Antarctique,
Les puits de science, hommes de pétrole,
Les blagues qui n'ont jamais vraiment été très drôles,
Actions en course, contre la montre,
Mais avec le monstre qui tient les bourses,
L'Amour universel qu'ils toussent tous derrière un masque
Quand ils lêvent les yeux au ciel,
Et que le ciel crie au désastre,
Quand ils ont peur du soir là où
Se désagrègeront des astres
Et qu'ils pleureront leurs étoiles.
A l'aune de l'Arbre familier,
Qui chasse dans l'atmosphère leurs cauchemars par milliers,
Le bruissement des feuilles rassure du meilleur des conseils,
Le jour ne se lève que demain, et d'ici-là, trésor,
Pour un tout petit instant encore,
Repose-toi paisiblement,
Car la nuit porte son ciel.
Nous nous reposons,
L'Arbre de la Connaissance,
Aura perdu toutes ses feuilles,
Le soleil frappera par delà les branches sëches.
Et tout le monde
Aura une ombre
Sur notre terre
Alors préviens tes relatifs
Qu'en s'entraidant un peu,
Nous serons presque tous
Protégés par quelqu'un
Prenant les coups
A notre place
Tous les abris
Auront un prix
Sur notre terre
Ne sois pas effrayé
Nous avons abattus des forets
Pour nous défendre
Par nos écrits
De ce que nous ne pouvions contrôler
De ce que n'avons pas pu comprendre
Pendant longtemps j'ai fuis,
J'ai essayé le ciel,
De gares en gares, de galaxie en galaxie,
Pour m'asseoir
Sur le rebord de la Lune,
Pour y monter une tente unie,
Pour juste avoir un point de vue,
Chaque levé de terre j'admirais au loin
Les uns, les unes, les tiens, les miens,
Toutes les marées montantes,
Les amas d'étoiles figurantes
L'état de Marylin Monroe,
Les supernovas débutantes,
Les avidités d'énergie,
De pouvoirs et d'autonomie,
Les automnes et les printemps,
La cocaïne et les cancers de peau,
Le CO2 face aux nitrates,
Jamais ni trop ni trop tard,
Mais pas encore assez des deux,
Machines à effet de serre,
Méthane à effet servile,
Emergence de villes adolescentes aux explosions d'essences
Voix de développements muées sous une croissance non-contrôlée,
Et les mamans inexpérimentées,
Qui cherchent à changer les couche d'ozone,
Les beaux écrits, les feuilles de carbone,
Les anges aigris, Les fous aphones,
Les poisons énergétiques,
Les eaux chaudes de l'Antarctique,
Les puits de science, hommes de pétrole,
Les blagues qui n'ont jamais vraiment été très drôles,
Actions en course, contre la montre,
Mais avec le monstre qui tient les bourses,
L'Amour universel qu'ils toussent tous derrière un masque
Quand ils lêvent les yeux au ciel,
Et que le ciel crie au désastre,
Quand ils ont peur du soir là où
Se désagrègeront des astres
Et qu'ils pleureront leurs étoiles.
A l'aune de l'Arbre familier,
Qui chasse dans l'atmosphère leurs cauchemars par milliers,
Le bruissement des feuilles rassure du meilleur des conseils,
Le jour ne se lève que demain, et d'ici-là, trésor,
Pour un tout petit instant encore,
Repose-toi paisiblement,
Car la nuit porte son ciel.
Entré par Bibasse, le Mercredi 25 Juin 2008, 00:42 dans la rubrique "Aura des paquerettes".
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Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.