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\\ Qu'est-ce que tu veux?
Le sous-titre : Non, vraiment, qu'est-ce que tu veux?
Parfois la vie se muscla simplement autour d'un "qu'est-ce que tu veux?"
Tout le reste, à la poubelle, toutes les vérités nues,
tous les mensonges éhontés,
n'ayant laissé place qu'à la clarté affolante et vivante d'un
"bon, en fait, qu'est-ce que tu veux?"
Et tu te répètera, parce que tu parlais aux feux rouges,
face aux difficultés
(mot euphémisant sobrement toutes les difficultés) :
"d'accord, il faut reprendre, mais réfléchis une demi-seconde, "qu'est-ce que tu veux?"".
Tu toucherai juste du doigt le fait que vouloir l'impensable
l'eut rendu possible tant que tu n'aurai pas voulu l'impossible.
Et ça marchait même quand tu ne susses pas ce que tu voudra.
Du moment que tu sache que tu auriez pu vouloir.
Et ce serait bien là où le bas s'effile parfois.
J'ai cru compris que ça ne durerai qu'un temps.
Les temps sont durs à accorder.
S'il vous plait ne comprenez rien.
Généralement la vie est émaillée de journées aux phrases en usage unique
et aux temps imparfaits.
Qu'est-ce que tu veux?
Tout le reste, à la poubelle, toutes les vérités nues,
tous les mensonges éhontés,
n'ayant laissé place qu'à la clarté affolante et vivante d'un
"bon, en fait, qu'est-ce que tu veux?"
Et tu te répètera, parce que tu parlais aux feux rouges,
face aux difficultés
(mot euphémisant sobrement toutes les difficultés) :
"d'accord, il faut reprendre, mais réfléchis une demi-seconde, "qu'est-ce que tu veux?"".
Tu toucherai juste du doigt le fait que vouloir l'impensable
l'eut rendu possible tant que tu n'aurai pas voulu l'impossible.
Et ça marchait même quand tu ne susses pas ce que tu voudra.
Du moment que tu sache que tu auriez pu vouloir.
Et ce serait bien là où le bas s'effile parfois.
J'ai cru compris que ça ne durerai qu'un temps.
Les temps sont durs à accorder.
S'il vous plait ne comprenez rien.
Généralement la vie est émaillée de journées aux phrases en usage unique
et aux temps imparfaits.
Qu'est-ce que tu veux?
Entré par Bibasse, le Dimanche 15 Janvier 2006, 22:53 dans la rubrique "POURQUOI?".
Entrées :
CoYoTE,
dans le même fétu de temps, a écrit :
Re: Hein ?
Passque j'ai rien d'autre à mordre, que j'adore analyser, et que je commence à comprendre comment marche ce gaillard, je m'y essaie de mon interprétation.
Il est question de la phrase "qu'est-ce que tu veux?" en tant que leitmotiv, de ces phrases qu'on se dit ou se répète pour dépasser les états d'incapacité que connaissent les gens qui ont un blocage psychologique les empechant d'entreprendre quelque chose où quoi que ce soit, des phrases comme "carpe diem", "là ou il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir", ou encore "dis quelque chose". "qu'est-ce que tu veux?" comme une invitation à réfléchir sur ses véritables motivations et à réaliser que toute barrière psychologique provient d'un défaut ou d'une absence de définition de l'objet du vouloir ou de motivation à l'atteindre. Mais ce leitmotiv n'étant qu'un leitmotiv comme un autre, ses limites, car limites il y a, sont posées. Et ce serait bien là où le bas s'effile parfois. Car ce leitmotiv ne fonctionne qu'en présence du sentiment d'envie, sentiment qui peut disparaître chez le sujet, sentiment qui ne durerai qu'un temps. Il semble qu'à ce moment, l'auteur noie le poisson d'une pirouette, cacaouète. En confondant les temps de l'envie et les temps du texte, il crypte son message car il ne désire plus qu'il soit compris. S'il vous plait ne comprenez rien. Il termine sur un double-sens, en présentant cette phrase, "qu'est-ce que tu veux?", qui semble accuser réception d'un état de fait, et qui se met en même temps à interpeller le lecteur, le laissant sur sa fin, et lui demandant ce qu'il attendait de ce texte. Ma foi, bibasse nous avait habitués à mieux, c'est pas pour dire, mais depuis que t'as ouvert les fenêtres, c'est à l'abandon, ici.
Signé Co Yo T E, l'empecheur de blogger en rond, plutôt en carré puisqu'il s'agit d'élucarrébrations si j'ai bien compris.
Le premier où la première qui me dénonce aura à faire avec mes crocs.
Il est question de la phrase "qu'est-ce que tu veux?" en tant que leitmotiv, de ces phrases qu'on se dit ou se répète pour dépasser les états d'incapacité que connaissent les gens qui ont un blocage psychologique les empechant d'entreprendre quelque chose où quoi que ce soit, des phrases comme "carpe diem", "là ou il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir", ou encore "dis quelque chose". "qu'est-ce que tu veux?" comme une invitation à réfléchir sur ses véritables motivations et à réaliser que toute barrière psychologique provient d'un défaut ou d'une absence de définition de l'objet du vouloir ou de motivation à l'atteindre. Mais ce leitmotiv n'étant qu'un leitmotiv comme un autre, ses limites, car limites il y a, sont posées. Et ce serait bien là où le bas s'effile parfois. Car ce leitmotiv ne fonctionne qu'en présence du sentiment d'envie, sentiment qui peut disparaître chez le sujet, sentiment qui ne durerai qu'un temps. Il semble qu'à ce moment, l'auteur noie le poisson d'une pirouette, cacaouète. En confondant les temps de l'envie et les temps du texte, il crypte son message car il ne désire plus qu'il soit compris. S'il vous plait ne comprenez rien. Il termine sur un double-sens, en présentant cette phrase, "qu'est-ce que tu veux?", qui semble accuser réception d'un état de fait, et qui se met en même temps à interpeller le lecteur, le laissant sur sa fin, et lui demandant ce qu'il attendait de ce texte. Ma foi, bibasse nous avait habitués à mieux, c'est pas pour dire, mais depuis que t'as ouvert les fenêtres, c'est à l'abandon, ici.
Signé Co Yo T E, l'empecheur de blogger en rond, plutôt en carré puisqu'il s'agit d'élucarrébrations si j'ai bien compris.
Le premier où la première qui me dénonce aura à faire avec mes crocs.
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Thème inspiré par Bryan Bell.
Thème inspiré par Bryan Bell.
Hein ?
J'ai lu et j'ai rien compris
En fait j'ai lu sans voir
"qu'est-ce que tu veux?" voir ?
Ouvre les yeux peut-être
Mais c'est pas sûr de voir !
Alors "qu'est-ce que tu veux?"
Je veux juste des yeux !
il faut que j'aille bosser sinon je continuerai...
Tchao!